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Tonoharu de Lars Martinson – Critique littéraire de bande dessinée

24 Avr

Vous rêvez de partir vivre au Japon ?

 Cependant, entre le rêve & la réalité il y a parfois un fossé …

 Tonoharu est une bd publiée en 2011 aux éditions Le Lézard Noir. Cet ouvrage est fortement inspiré de la vie de Lars Martinson, l’auteur qui a lui-même vécu au Japon comme assistant d’anglais. Pour en savoir plus sur l’auteur rien ne vaut son blog !

Tonoharu

Tonoharu

Synopsis

Ce roman graphique américain suit Daniel Wells à son arrivée dans une petite ville de la province japonaise au poste d’assistant scolaire. Ce journal d’une solitude semi-autobiographique suit les difficiles tentatives du jeune homme pour s’intégrer à une société étrange et étrangère. Lars Martinson propose une sorte de Stupeur et Tremblement ou de Lost in Translation subtil et feutré, où le Japon se dévoile dans un trait dur et dans le silence d’une province grise et monolithique. La rigidité feinte du dessin, qui révèle l’influence de Chris Ware et de Seth, résonne avec l’immobilisme de la vie du personnage, empruntant parfois au registre des gravures qui ont fait les grands récits de voyages européens.

Un avis d’ancienne fille au pair à l’étranger

Voilà, je ne suis pas partie au Japon mais, en Irlande. Je trouve cependant que le propos de Lars Martinson dans Tonoharu est très vrai. Quand on part vivre à l’étranger, il y a toujours un moment où le mal du pays nous guette. L’utilisation de notre langue maternelle est ressentie comme un besoin face à notre de facilité à communiquer dans notre langage « d’emprunt », la langue du pays d’accueil.

Les problèmes de langage

Les problèmes de langage

Ensuite, l’intégration n’est pas toujours chose facile ! Se faire des amis, s’habituer aux us & coutumes locales … c’est-à-dire changer, oui mais encore faut-il pouvoir et accepter !

Bref, à travers des tranches de vie de Wells, des moments banals, l’auteur pose avec brio les soucis du quotidien des expats’.

 En noir & blanc, avec un style épuré, cette bd est plus que sympathique et je la conseille à tous les gens qui veulent partir vivre ailleurs en pensant qu’ailleurs c’est toujours mieux. Je la conseille aussi à tous ceux qui sont loin, à tous ceux qui aiment voyager … en fait à tout le monde !

 Envie de plus ?

Vous en voulez plus sur les voyages aux Japon ?

Manabé Shima

Manabé Shima

Je vous recommande vivement le très bon ouvrage de Florent Chavouet, Manabé Shima qui raconte son voyage par des illustrations magnifiques & des commentaires très drôles. Sûrement plus amusant et plus grand public que Tonoharu, ce livre fera un cadeau parfait ! Entre humour et graphismes soignés, Manabé Shima est un livre génial qui m’a transporté dans le sac à dos de F. Chavouet.

Le Japon étant un sujet fascinant et foisonnant, quel ouvrage est, selon vous, une référence ?

Boire un verre à Paris

10 Déc

Ce weekend je suis allée à Paris, l’occasion de faire deux/trois petites choses dont je vais vous parler !

La première étant d’aller faire un tour dans un endroit cool, geek et culturel qui permet de se désaltérer et de manger aussi. Aller je vous donne un indice : 19 avenue Victoria à Paris

Tu as trouvé ?

Si je te parle du calendrier Maya fièrement affiché sur un mur de ce lieu, le plafond en référence à Doctor Who ?

Vraiment, tu ne vois pas.

Bon un dernier indice, ce weekend à Paris j’ai bu un verre entre E.T. et un Gremlins !

Ah ça y est tu as percuté que je te parlais du Dernier Bar Avant La Fin Du Monde (en référence à H2G2) ?

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ce bar est également un « bunker anti zombie »

Non ?

Bon alors je vais t’en toucher deux mots et après ça tu vas courir prendre le premier train pour Paris afin de tester par toi même et goûter à cette ambiance si particulière.

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Le calendrier Maya qui annonçait quoi il y a presque un an ?

Alors voilà j’ai eu la chance d’aller deux fois dans ce lieu : la première j’ai pris un Tchai Hulud (un thé) dans une super tasse THOR – tu peux pas test, tellement le thé il m’a donné de la force – et j’avais l’impression d’avoir la classe. En accompagnement mon mec avait prévu les Dark Side Cookies (qui se vendent par deux, c’est le côté obscur de la force, si t’es tout seul tu grossis 2 fois plus).

Je vous dis, cet endroit c’est le pied total ! Les serveurs ont des tee-shirts super fun, un écran balance les dernières bandes-annonces de films et de jeux vidéos (de sorte que maintenant j’attend le 25 décembre en trépignant, non pas pour Noël mais pour Albator). Bref, ce soir là, je m’en suis tenue là.

Mais la seconde fois (en un weekend, oui ça fait beaucoup mais ne me jugez pas, quand on aime on ne compte pas) j’ai testé un cocktail: le Serenity. En gros le dimanche soir, afin de clôturer le weekend d’une bien belle façon, la décision fût faite d’aller boire un verre au même endroit que le thé, mais de prendre un de leur cocktail au nom aussi savoureux que le breuvage en lui-même (genre vient tester la Triforce). Et si tout ça fait envie, les bouteilles derrière le bar semblent plus RP que IRL comme diraient certains … Bhun oui, on voit écrit « MANA » et « LIFE » sur les bouteilles verte pour le premier et rose sur le second, tout à fait logique.

Pourquoi aimer ce lieu ? Pour ses toilettes surréalistes où l’on te propose un jeu différent selon ton sexe. Pour les femmes – seuls toilettes que j’ai testés – on vous propose un blindtest. Ce qui veut dire que tout le monde est au courant que tu vas au toilettes, vu que la musique se met en branle dès que tu ouvres la porte. Mais soit, c’est tellement fun qu’on s’en moque, en gros !

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& I like it !

Bon alors résumons :

-un bar qui a servi à tourner une série cool
– une déco qui déchire sur 3 étages
– un concept novateur et branché
– des gens cools qui viennent boire un verre (Simon Astier, Lindsey Stirling, …)
– des dédicaces, notamment pour Bragelonne, s’y font
– y’a des activités de proposées, comme des jeux de sociétés ou un blind test « geek » certains soirs de semaine
– et les serveurs qui semblent avoir une collection de tee-shirt digne de celle de Sheldon Cooper.

En plus, sincèrement les prix sont similaires à ceux partout ailleurs (surtout à Paris), 2e le café, 4e le thé – moins cher que chez Starbucks – et entre 8 et 10e le cocktail. Pour un repas sur place comptez 9.50e, et pour un petit plaisir comme un cupcake choupi avec une étoile de SuperMario ou un Poulpe (sinon y’a les cookies) ce sera environ 3e.

Bref de quoi passer un agréable moment dans un décor digne d’un bon jeu vidéo ou d’un Indiana Jones en plein Paris.

Un gros coup de cœur pour ce lieu plein de caractère où j’espère retourner. En attendant et parce qu’il est vraiment gentil, mon copain m’a offert le tee-shirt du Dernier Bar Avant la Fin Du Monde, où il y a un gros 42 inscrit en jaune. Je penserai à vous le prendre en photo à l’occaz’, parce que je l’aime d’amour ce nouveau Tee-Shirt.

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My precious

Etes-vous prêts à rejoindre le côté obscur de la force à votre tour ?

Allez donc faire un saut à la taverne pour recharger votre vie et/ou votre mana.

Just One Direction : le Fast Food

11 Juil

Shaun, il aime pas le Big Mac. Monsieur ne mange que des Whoopers de chez Burger King … et moi je suis contre. Je ne suis pas particulièrement une amatrice de McDo, mais je trouve tout de même que les sandwichs McDo ont meilleur goût que ceux de Burger King. 

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Cette image n’est pas une publicité !

Un avis sur la question ? Lequel, du goût de Shaun ou du mien est le meilleur ?

Si aucun des deux ne vous plait, je peux vous conseiller d’aller déguster un bagel avec des nachos au cheddar au Best Bagel de Lyon ou un hamburger au nom sympa au Funky Burger de Bordeaux !

Shaun Just One Direction

7 Juil

Et voici une nouvelle aventure de Shaun toujours au pays de la Guinness et des moutons … 

Une petite pause sucrée s’impose, il est 16h30, que mange Shaun ? Le savez-vous ou donnez vous votre langue au chat ? 

DSCN1262Oui, il s’agit bien d’un Fudge (ultra sucré) à la vanille et au smarties !

Shaun Just One Direction

23 Juin

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Après Shaun buvant de la Guinness au pub , revoici Shaun ! 

Qui devinera où cette photo a été prise ? 

Tribulations de Just One Direction

12 Juin

Alors voilà je suis rentrée en France mais bien accompagnée !

Vous l’aurez compris le nom est en fait un hommage aux stars de notre époque (ou pas). Le vrai nom de ce petit être tout mignon est Shaun. C’est un irlandais qui aime dire « Póg mo thóin » à tout va même si c’est mal. Si vous lui parlez de son pays il vous proposera d’y faire un tour en vous disant « Failte » (bienvenu). Bref, un petit homme charmant, aux moeurs très très Irish, son accent aussi. C’est souvent au pub que vous le verrez, une Guinness à la main, chantant à plein poumons mais n’allez pas croire qu’il est alcoolique. Il m’a suivie durant les dernières semaines en terres celtiques. A vrai dire je l’ai rencontré à Dublin, on a flashé. Depuis : nous sommes inséparables !

Bref, j’ai décidé de lui offrir une place de luxe sur ce blog … Toutes les semaines il fera une apparition ! 

Je vous laisse en sa compagnie. Dans tout les cas : je suis de retour sur ce blog et reviens en forme pour partager avec vous de nouvelles aventures ! Désolée pour cette pause non-prévue et non annoncée. 

En exclusivité internationale : Shaun Just One Direction !

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Okayu

1 Juin

Une nouvelle recette simple trouvée via xxx Holic. Le printemps, le soleil, l’été qui approche… C’est ce que l’on souhaite et puis il y a la réalité, la pluie, le froid qui reste et les rhumes, les maladies. Vous n’en pouvez plus ? Stoppez les tisanes le temps d’un repas, voici ce que l’on vous servirait au Japon si vous aviez un sale virus : de l’Okayu. Cette soupe ou bouillie de riz, facile à digérer, peut même être servie aux plus jeunes. Alors dites-moi, pourquoi s’en priver ?

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Les chinois aiment l’Okayu (aussi appelé Congee) au petit déjeuner.

Alors je vous donne ce qui sert de « base ». Si vous voulez ajouter d’autres trucs, c’est vous qui voyez.

Pour deux personnes il vous faut :

–          100 grammes de riz rond

–          3 verres d’eau

–          Un peu de sel

–          1 oignon vert haché

–          Des graines de sésames

–          1 cuillère à soupe de sauce soja

–          1 Umeboshi (prune salée)

Préparation :

–          Rincez le riz et mettez-le dans une casserole avec de l’eau. Faites-le tremper une demi-heure.

–          Allumez le feu moyen et laissez bouillir. Attention, la casserole doit être couverte.

–          Une fois en ébullition, mettez à feu doux, très doux, durant une petite demi-heure.

–          Une fois le riz cuit, ajoutez le sel, les graines de sésames, la sauce soja, l’oignon et l’Umeboshi  (coupé pour que chacun en ait).

–          Servez dans des bols, et au lit si c’est pour un malade.

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Yummy in my tummy !
Photo de ce tumblr.

Alors ? De nouveau sur pieds ? On attend l’été fermement !

KimihiroWatanuki

いただきます

Oyakodon

25 Mai

Aujourd’hui c’est samedi et nous revoilà pour un petit plat japonais tout droit sorti de xxx Holic. Il s’agit de l’Oyakodon (vous pouvez traduire ça par « bol pour la mère et son enfant »). L’Oyakodon est une sorte de Donburi, c’est-à-dire, un bol de riz avec un accompagnement. Dans notre cas il s’agit de poulet et d’œufs. En gros c’est un plat sympa, facile et qui plaira beaucoup à vos enfants par son goût pas trop étrange s’ils ne sont pas habitués aux mets non-occidentaux.

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Viens de ce blog espagnol où la recette est bien expliquée également.

Tout d’abord, pour deux bols, il vous faudra disposer de :

–      100 grammes de blancs de poulet

–      2 œufs

–      du riz rond

–      la partie verte d’un poireau

–      de la ciboule

–      2 cuillères à café de sucre en poudre

–      2 cuillères à soupe de sauce soja

–      1 cuillère à café de Dashi

Maintenant on se lave les mains, on remonte ses manches et on se lance dans la préparation :

–      Dans un premier temps il faut faire l’assaisonnement. Mélanger dans un bol la sauce soja, le sucre en poudre et le bouillon de Dashi. Mettre de côté.

–      Faire cuire le riz.

–      Découper le poireau finement (lamelle de 1cm). Le faire revenir dans une poêle avec un demi-verre d’eau.

–      Cisailler la ciboule. L’ajouter au poireau. Remuer de temps en temps.

–      Couper les blancs de poulet en petits carrés. Une fois le poireau et la ciboule ramollis dans la poêle, ajouter le poulet.

–      Une fois que le poulet commence à changer de couleur, ajouter l’assaisonnement et mélanger.

–      Mettre votre riz dans des bols individuels.

–      Verser les œufs sur le mélange dans la poêle, attendre que l’œuf cuise.

–      Verser la préparation sur le riz dans les bols

Mes photos arrivent bientôt ! Promis.

Dans tous les cas bon appétit !

 

xxxholic

いただきます

Street Culture n°4 : conclusion personnelle

17 Mai

Dès l’exportation du Hip-Hop en dehors des États-Unis on peut dire que le mouvement s’ouvre et se démocratise. Il n’est plus réservé aux noirs des ghettos. Lors de son arrivée en France, ce sont les populations vivants dans les quartiers dits « défavorisés », les immigrés qui prennent les rennes des différentes disciplines du hip-hop. En Effet, même si le graff est réservé aux plus « bourgeois » (car c’est une réalité, il faut pouvoir se payer les bombes), le rap et le break eux restent presque exclusivement pratiqués par les gens des banlieues des grandes villes.

Pour qui est cet art, qui le voit et qui le regarde ?

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à Lyon

Si ce sont les gens issus des quartiers qui sont les acteurs de ce mouvement, ce sont également eux qui l’apprécient. Lorsque les artistes couchent leurs peintures sur les murs plus que sur de la toile c’est pour que chaque passant puisse la voir. Le désir d’en faire un art universel est très présent dans leur idéologie. Malgré cela c’est chose courante de passer devant ces graffitis sans même y faire attention. Seul un œil averti  pourra déchiffrer ce qui est indéchiffrable pour beaucoup (lettrage difficile à lire). Ce besoin d’expertise a renversé la tendance et a fait en sorte que le graff soit un genre artistique à part entière. Aujourd’hui il est courant de voir des libres commentant les tags au même titre que les autres peintures.

La danse et le rap quant à eux sont devenus des arts populaires. Des centaine de personnes de tous horizons viennent voir des entraînements publics de hip-hop en plein cœur des villes. Enfin pour ce qui est du rap, avec internet notamment, les musiques se diffusent très vite. Et même si certains groupes restent cloîtrer dans leur quartier ou de leur ville beaucoup s’exportent. C’est notamment le cas de Médine, issus du Havre avec son groupe Ness et Cité puis La Boussole, est aujourd’hui une «pointure » en matière de rap français. Le rap est devenu un des genres les plus en vogue.

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Médine

Le hip-hop est donc pour tous, ouvert à celui qui souhaite s’initier tout en restant un art de la rue, fait par et pour une population urbaine.

Si le hip-hop est surnommé le « street art » ce n’est pas pour rien, et il faut donc le prendre comme un art qui s’inscrit dans les villes. Il serait beaucoup moins intéressant de graffer un abris-bus de campagne qu’un mur en plein centre d’une ville. De par son histoire même, on remarque le lien étroit que ce mouvement détient avec la ville : ils ne font qu’un. Le hip-hop ne serait rien sans ce que lui fournit la ville. Des lieux sont détournés et mis à profit de la pratique de la danse, du chant ou du graff. Parmi ces lieux on peut penser aux bâtiments publics qui font régulièrement office de piste de danse (allez voir l’opéra à Lyon ou la gare de Rouen, ça vaut le coup !) ou encore un bon nombre de murs qui deviennent des œuvres d’art pour certains et du vandalisme pour d’autres…

Pour ce qui est de l’art, seul le contemplateur peut faire son choix. Et je terminerais sur une phrase que l’on peut donc méditer:

« Rap is the business, hip-hop is the culture. »

(Le rap est le business, le hip-hop est la culture.) Grandmaster Flash

Tamagoyaki Sucré

4 Mai

A vos cuisines mes poulets ! 

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Aujourd’hui nous avons rendez-vous afin de préparer un tamagoyaki sucré comme le fait Watanuki. Tout d’abord sachez que la traduction littérale de tamagoyaki est œuf cuit et qu’il s’agit tout bonnement d’une omelette. Cette dernière peut également être salée mais ce n’est pas le sujet du jour. Les japonais préparent leur tamagoyaki dans une poêle rectangulaire qui est faite exprès : le makiyaki nabe. Le fait qu’elle soit rectangulaire permet de rouler facilement l’omelette afin d’en faire un rouleau parfait qu’il sera aisé de couper en tranche. Toutefois il est possible de faire ce plat dans une poêle classique, ne vous méprenez pas !

 Alors sortons nos ingrédients sur notre plan de travail :

–       3 œufs

–       1 cuillère à soupe de sucre mais si vous voulez un vrai dessert sucré je conseille de mettre une cuillerée de plus

–       1 cuillère de sauce soja

–       Un peu de sel (doser selon les goûts de chacun)

–       Huile pour la cuisson

Vous voyez, il vous faut trois fois rien et la suite ne fera que confirmer cette idée en vous donnant envie de vous mettre aux fourneaux pour tester ça en encas. En effet, je voudrais faire en sorte que les étudiants puissent faire cette recette avec le peu d’ustensiles dont ils disposent !

–       Cassez vos œufs dans un saladier

–       Ajoutez le sucre, la sauce soja et le sel

–       Fouettez le tout jusqu’à obtenir un mélange homogène 

–       Huilez votre poêle à l’aide d’une feuille d’essuie-tout et faites chauffer

–       Versez un quart de votre préparation dans la poêle chaude (faites en sorte que la préparation recouvre le fond de votre poêle)

–       Une fois que vos œufs prennent de la consistance, commencez à rouler votre omelette et mettez ce rouleau à l’extrémité de votre poêle 

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–       Huilez de nouveau votre poêle et conservez le rouleau dans celle-ci

–       Ajoutez de nouveau un quart de préparation en faisant attention que le rouleau soit au-dessus de cette nouvelle épaisseur

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–       Une fois encore, lorsque l’omelette a pris, roulez là autour du premier rouleau

–       Répétez l’opération deux fois encore afin de finir la préparation

–       Une fois votre rouleau final prêt, posez-le dans un plat et découpez le en tranche pas trop fines (3 centimètres en gros)

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–       Dégustez !

Et parce que je suis tombée sur ce blog et qu’il est génial je le recommande à toutes les fanas de cuisine, la recette du Tamagoyaki y est illustrée avec brio  : Croque Moi.

Bon Appétit en tout cas.

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いただきます